À l’ère du numérique, où tout est accessible en un clic, où une information chasse l’autre, générant une fatigue informationnelle pour 51 % des Français, selon le dernier Baromètre La Croix/Kantar, et où les réseaux sociaux nous inondent de fake-news, les magazines restent une valeur refuge.

Enquêtes, reportages ou portraits construits suivant une ligne éditoriale claire, dans le respect d’un contrat de lecture, s’inscrivent dans une dynamique, créatrice de valeur, plus que jamais d’actualité. Complémentaires du digital, les magazines gardent plus que jamais leur raison d’être. Ils se démarquent d’abord par la qualité du travail journalistique, la vérification des informations et la vulgarisation de sujets qui, parfois, peuvent s’avérer complexes, qu’il s’agisse de politique, de textes législatifs, de science, de culture, d’art ou de sport. Les lecteurs accèdent ainsi à des informations de qualité, sans avoir à trier dans un flot ininterrompu de news.

RSE, plus que jamais !

Mais saviez-vous que, contrairement aux idées reçues, les magazines s’inscrivent dans une démarche environnementale remarquable que les médias en ligne peuvent leur envier ? Le papier recyclé, les encres et le recyclage des invendus leur donnent des vertus, en matière de développement durable, que le digital n’a pas, à l’heure des gigantesques datacenters.

D’après les résultats de l’étude commandée par la mission d’information, ces derniers représentaient 14 % de l’empreinte carbone du numérique en France, en 2019 ! Ils nécessitent également une importante quantité d’eau pour rester à température ambiante, laquelle termine ensuite dans les égouts. Par ailleurs, le refroidissement requiert des composés chimiques polluants et des batteries aux composants toxiques pour l’environnement. Saviez-vous que le numérique émet 3,9 % des gaz à effet de serre, soit davantage que le transport aérien civil ? Et d’ici 2025, ce chiffre pourrait doubler ! La consommation d’énergie des centres de données passera d’environ 200 térawattheures (TWh) par an à près de 3 000 TWh annuels en 2030 !

56 heures par semaine sur les écrans !

Les magazines constituent aussi une opportunité pour se déconnecter, à l’heure une étude parue en 2021 a révélé que nous passons 56 heures par semaine, soit plus de deux jours, sur les écrans, et pour réduire sa fatigue visuelle. Ils offrent aussi une expérience tactile, par le biais du papier, et immersive. Ils créent également une relation de confiance avec les lecteurs au fil du temps. Les éditeurs ou les entreprises, qui deviennent des marques médias, à l’instar de Red Bull par exemple, ainsi que les acteurs publics fournissent des contenus de plus en plus pertinents et informatifs, renforçant ainsi leur crédibilité et, par ricochet, celle des publications qu’ils éditent. Nous pourrions encore évoquer la création graphique, les photographies ou les mises en page soignées… Autant d’atours, là encore, créateurs de valeur ! Enfin, il n’est pas vain de rappeler que les magazines peuvent être lus n’importe où, sans nécessiter de connexion Internet. Sans oublier qu’avec la technologie, ils peuvent évidemment être digitalisés, agrémentés de contenus numériques additionnels, renforçant ainsi l’expérience de lecture ? Ce qui les rend uniques !

Ensemble

TOUTécrit conçoit depuis 2006 des magazines, autour de quatre principes immuables :

Objectivité
Rigueur
Curiosité
Restitution de l’information collectée, à travers une écriture spécifique et la maîtrise des principes journalistiques que nous adaptons à la ligne éditoriale et au contrat de lecture.

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